Perché sur une rocher percée, la base rehaussée d’émaux aubergine, l’oiseau glacé dans des tons de vert avec des plumes rehaussées en noir, la tête légèrement tournée dans une attitude attentive, les pupilles décorées en noir, le bec et les pieds non émaillés.
Des figures de perroquets sont actuellement conservées dans les collections du Rijkmuseum (Amsterdam), dans le pavillon chinois à Drottningholm (Suède), ou dans la collection de Dresde (Allemagne). Beurdeley et Raindre illustrent deux exemples dans La Porcelaine des Qing: la famille verte et la famille rose (1986, pl 109), qui ont été documentés comme ayant été dans le Cabinet Intérieur de Marie-Antoinette à Versailles en 1789.
Un perroquet identique est conservée dans les collections du Pavillon Chinois de Drottningholm (Suède) et est illustré par Ake Setterwall dans The Chinese Pavilion at Drottningholm, 1974, p. 163.
Le perroquet est un animal indigène de Chine et est parfois représenté avec une perle dans son bec comme compagnon de Guanyin. Le mot chinois pour perroquet peut également signifier « jeune fille », de sorte que l’oiseau a acquis diverses connotations érotiques.
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